Le roman commence en 1945 à la
naissance de Werner, lors des bombardements de Dresde. 25 ans plus tard, plongeon
à New York : Lui réussit dans les affaires immobilières, Rebecca est une
riche héritière qui évolue dans le milieu artistique et les « people »
de l’époque. Alors forcément leurs chemins finissent par se croiser et ce qui
devait arriver arriva ! Sauf que cette idylle est impossible entre ces deux-là.
On ne résiste pas bien sûr, à l'envie d’en savoir plus et de se laisser envoûter par les pages qui se succèdent à un rythme effréné grâce une écriture très fluide.
Les chapitres alternés avec des flash-back
sont très aisés à lire, mais il y a quand même un petit mais : Il est malheureusement un peu regrettable de passer du
roman de type presque « historique » à une fin un peu trop gentillette voire écrite à l’eau de
rose.
Voilà pourquoi j’ai un tout petit peu de mal
à classer cette dernière lecture dans la catégorie « best off », même
si je l’ai dévorée en un week end et qu'in fine, j'ai beaucoup aimé !
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